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Alia, les voleurs de l'ombre, Sophie Auger

Bonjour tout le monde !


Retour à des codes de la romance un peu plus classiques avec cette sortie, un peu ancienne maintenant, de chez Nisha Editions et écrite par Sophie Auger.


L'histoire :

Vadim et Dimitri ont a cœur de faire vivre l'héritage de leur parents : voler des œuvres qui ont été accaparées par traîtrise afin de les restituer à leurs véritables propriétaires.

Sans coeur et déterminés, ils se connaissent pas cœur et sont aussi habiles en missions qu'en soirée. Le cœur de Vadim, froid et insensible, se contente allégrement de quelques courbes féminines, sans aucune attache ni aucun engagement.

Pourtant, lors de son voyage annuel en Russie pour visiter sa famille, il va tomber sur le plus bel ange qu'il ait jamais vu. Et à jamais, Vadim saura que son cœur n'a de cesse de fondre devant cette femme. Alia. Courte idylle de quelques semaines, avant de repartir en mission, Vadim ne s'attendait à se faire poignarder dans le dos par la seule femme qui lui ai jamais redonné l'envie d'aimer.

Pourquoi a-t-elle disparu ? A-t-elle finalement menti, pendant ces semaines exceptionnelles qu'ils ont passées ensemble ? Vadim ne peut que se contenter de suppositions, jusqu'au jour où la réalité va lui exploser en pleine figure.




Mon avis :

J'ai totalement repris cette histoire alors que j'avais déjà lue la première saison à l'époque où elle est sortie. De crainte de pas retrouver l'endroit où je m'étais arrêtée, j'ai décidé de tout recommencer.


J'avais beaucoup apprécié la première partie, même si je trouvais que le cœur de Vadim fléchissait un peu vite devant sa belle amazone. Pour autant, j'étais charmée, tant par la personnalité d'Alia, aux antipodes complets de Vadim, que par leur charmante idylle que l'auteure déploie gracieusement sous nos yeux.


Mais la suite m'a moins conquise malheureusement... J'ai trouvé que le récit était compliqué de manière artificielle avec des non-dits qui, ici, ne constituent pas une force de l'histoire. Lorsque l'un est ouvert au dialogue, l'autre se ferme, ensuite c'est le contraire et tout ça doit se dérouler sur une durée très longue pour que cela puisse garder de la cohérence.


Ce sont ces passages avec des ellipses de plusieurs mois ou parfois plusieurs années qui font perdre le charme, la douceur et la beauté du cocktail qu'on trouvait dans la première partie.


Au-delà du fait que j'avais deviné le secret d'Alia avant qu'il ne soit révélé, j'ai trouvé que le cheminement pour pouvoir arriver à "une fin heureuse" était bien trop complexe. C'est dommage.

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