Adopted Love, tome 2, Gaïa Alexia
Bonjour à tous !
Peu de temps pour lire et pour écrire en ce moment, nous entamons donc le week-end avec une chronique que j'avais hâte d'écrire : la suite tant attendue d'Adopted Love.
L'histoire :
Après son arrestation pendant le bal de promo, Teagan va être enfermé dans la prison de Rikers, à laquelle il a tant cherché d'échapper en se comportant (à peu près) correctement chez les Hills. Mais comment faire entendre sa voix lorsque l'on ne parle pas et que notre esprit rebelle nous défend de faiblir ? Mais Elena, trop perturbée et effrayée par les menaces qui pèsent sur elle et sa famille, ne pourra pas vraiment lui venir en aide. Entre violence, silence et regret, chacun d'eux comptera les jours en attendant de pouvoir se retrouver, sans savoir réellement si cette hypothèse sera possible un jour...
Mon avis :
J'étais très impatiente, à la fin du premier tome, de lire cette suite. L'auteure nous laissait sur un cliffhanger infernal qui nous a mis au supplice pendant le délai d'attente.
Pourtant, je n'ai pas été emballée par la suite comme je l'espérais. En effet, elle est pleine de longueurs et j'ai eu l'impression qu'elle tournait en rond pendant les 90% du texte... Le même schéma se répète indéfiniment : violence, regret, résignation et re violence.
En outre, j'ai trouvé que Teagan était accablé bien plus que nécessaire, il en subit déjà assez sans que l'on en rajoute. Or, si l'ambiance dans les prisons est loin d'être tendre, elle n'est pas émaillée d'autant de violence que ce qui est décrit, surtout par les personnels pénitentiaires.
Si l'histoire souffre de longueurs, il n'est pas possible de remettre en cause la plume de Gaïa Alexia qui a un talent incontestable. Les émotions sont décrites avec une extrême justesse et tout résonnait : qu'il s'agisse de la colère, de la frustration ou du manque.
Une histoire un peu décevante et un premier tome bien plus rythmé et entraînant.